Théâtre de la Concorde

Direction : Elsa Boublil
theatredelaconcorde.paris


« Autre théâtre » imaginé par Anne Hidalgo, Maire de Paris, et dirigé par Elsa Boublil, le Théâtre de la Concorde s’est donné pour mission de conjuguer l’art et la démocratie.

Le Théâtre de la Concorde donne rendez-vous pour sa nouvelle saison à partir du 16 septembre 2025. Avec toujours au cœur de son projet, le décryptage des grands enjeux de notre époque, par l’art, les rencontres, les ateliers et le spectacle vivant, autour de différentes thématiques.


16 SEPTEMBRE
LE PROCÈS FICTIF DE LA RENTRÉE
La rentrée n’aura pas lieu ! ou le Procès fictif des Aoûtiens
D’après le roman de Stéphane Benhamou

À la croisée du théâtre et du jeu démocratique, les procès fictifs du Théâtre de la Concorde explorent les grands déséquilibres de notre temps. En confrontant intellectuels, artistes et figures publiques dans une salle d’audience imaginaire, ces soirées offrent un espace pour comprendre et débattre. Rendez vous le 16 septembre avec le « procès fictif de la rentrée » pour interroger notre rapport au travail et aux vacances.
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Octobre : Vivre à tout prix

Malgré la maladie, malgré la guerre, malgré les violences patriarcales, malgré les régimes qui oppriment, malgré les drames intimes qui sont toujours politiques.
C’est ce que le Théâtre de la Concorde défendra en octobre, de la France sous l’occupation à la Russie de Poutine, du Journal de prison de l’avocat de Nelson Mandela au conflit au Proche-Orient, de la remise des Prix Me Too Media au Procès fictif d’une histoire mondiale du patriarcat. Grâce à des pièces de théâtre, des rencontres artistiques inédites, des remises de prix, des stand-up tragi-comiques, des ripostes poétiques, nous résisterons et vivrons à tout prix.
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Novembre : Faire corps

Souvent, la crise divise. Les maux attirent les maux. Au Théâtre de la Concorde, on pense que si l’union demande parfois des efforts, de la patience, une certaine capacité d’introspection, et de l’énergie, elle se révèle plus constructive et fructueuse quand on prend le temps de dialoguer ensemble à ce qui nous fait mal. Alors, dix ans après les attentats du 13 novembre, pourquoi ne pas faire corps ? Se rassembler dans notre diversité, se regarder, s’écouter et échanger. Faire corps, c’est une nécessité aussi bien à l’échelle de l’individu qui souffre qu’à celle du groupe qui agit.
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